Deux navires de guerre de la marine
française sont présents dans les eaux ivoiriennes depuis ce jeudi 18
août et ce, jusqu’au lundi 22 août 2016, dans le cadre de la coopération
militaire. Il s’agit du bâtiment de projection et de commandement (Bpc)
appelé Dixmude escorté par l’Aviso, Patrouilleur de haute mer (Phm).
Deux navires de
guerre de la marine française sont présents dans les eaux ivoiriennes
depuis ce jeudi 18 août et ce, jusqu’au lundi 22 août 2016, dans le
cadre de la coopération militaire. Il s’agit du bâtiment de projection
et de commandement (Bpc) appelé Dixmude escorté par l’Aviso, Patrouilleur de haute mer (Phm).
Selon le Bureau d’informations et de presse de la marine nationale ivoirienne, ces bâtiments sont actuellement engagés dans l’opération « Corymbe » qui assure la « présence quasi-permanente » d’un navire militaire français dans le golfe de Guinée.
« Ces escales participent, en coopération avec les marines riveraines, à la surveillance et à la sécurisation de cette zone maritime stratégique et aux opérations de renforcement des capacités des forces navales locales », a expliqué le Capitaine de Vaisseau Eric Lavault commandant le Bpc. Il avait à ses côtés le Capitaine de corvette Jean Ythier Verly commandant du Phm.
Durant les cinq jours de la présence des deux bâtiments français, le Capitaine de Vaisseau major N’Guessan Célestin commandant en second, représentant le Contre-amiral Djakaridja Konaté, a soutenu que la marine ivoirienne va « profiter de ces escales pour mettre en œuvre des programmes d’instruction opérationnelle ».
Toute chose qui permettra, à l’en croire, de « mieux renforcer les capacités des hommes pour venir à bout des menaces qui s’imposent dans les eaux sous juridiction nationale ». Selon la marine nationale ivoirienne, au moins six actes de piraterie maritime, essentiellement des vols, ont été enregistrés entre 2011 et fin 2012.
Les statistiques du Bureau maritime international (Bmi) révèlent que le coût des marchandises volées en 2012oscille entre 34 millions et 100 millions de dollars dans le golfe de Guinée (Nigeria, Bénin, Côte d’Ivoire, Cameroun, Guinée équatoriale, Gabon et Togo).
Pour ce qui est des caractéristiques des bâtiments présents dans les eaux ivoiriennes, il faut noter que le Bpc « Dixmude », long de 19 mètres est le troisième bâtiment de la classe du mistral. Il est intégré au groupe aéronaval français et participe à des missions de maintien de la paix de l’Onu ou dans le cadre de l’Union européenne. Le Phm, faut-il le souligner, est spécialisé dans la lutte sous-marine en zone côtière et participe en pratique à de nombreuses activités opérationnelles. Il s’agit, entre autres, de la lutte contre l’immigration clandestine, la lutte contre la pêche illicite, le narco trafic, etc.
Selon le Bureau d’informations et de presse de la marine nationale ivoirienne, ces bâtiments sont actuellement engagés dans l’opération « Corymbe » qui assure la « présence quasi-permanente » d’un navire militaire français dans le golfe de Guinée.
« Ces escales participent, en coopération avec les marines riveraines, à la surveillance et à la sécurisation de cette zone maritime stratégique et aux opérations de renforcement des capacités des forces navales locales », a expliqué le Capitaine de Vaisseau Eric Lavault commandant le Bpc. Il avait à ses côtés le Capitaine de corvette Jean Ythier Verly commandant du Phm.
Durant les cinq jours de la présence des deux bâtiments français, le Capitaine de Vaisseau major N’Guessan Célestin commandant en second, représentant le Contre-amiral Djakaridja Konaté, a soutenu que la marine ivoirienne va « profiter de ces escales pour mettre en œuvre des programmes d’instruction opérationnelle ».
Toute chose qui permettra, à l’en croire, de « mieux renforcer les capacités des hommes pour venir à bout des menaces qui s’imposent dans les eaux sous juridiction nationale ». Selon la marine nationale ivoirienne, au moins six actes de piraterie maritime, essentiellement des vols, ont été enregistrés entre 2011 et fin 2012.
Les statistiques du Bureau maritime international (Bmi) révèlent que le coût des marchandises volées en 2012oscille entre 34 millions et 100 millions de dollars dans le golfe de Guinée (Nigeria, Bénin, Côte d’Ivoire, Cameroun, Guinée équatoriale, Gabon et Togo).
Pour ce qui est des caractéristiques des bâtiments présents dans les eaux ivoiriennes, il faut noter que le Bpc « Dixmude », long de 19 mètres est le troisième bâtiment de la classe du mistral. Il est intégré au groupe aéronaval français et participe à des missions de maintien de la paix de l’Onu ou dans le cadre de l’Union européenne. Le Phm, faut-il le souligner, est spécialisé dans la lutte sous-marine en zone côtière et participe en pratique à de nombreuses activités opérationnelles. Il s’agit, entre autres, de la lutte contre l’immigration clandestine, la lutte contre la pêche illicite, le narco trafic, etc.
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